Du Covid à l'ennuie, Dave Kensington chante Paris sous le signe du spleen.
Après "Mon Corona", voici le nouveau single de Dave Kensington : "Paris s'ennuie", son nouveau titre après 6 mois de rééducation intensive suite à un Covid long.
Les présentations...
Dave Kensington est un artiste belge vivant entre Paris et Bruxelles. Après un Covid long et un séjour à l'hôpital, placé en soins intensifs dans un coma artificiel, le chanteur est passé près de ne plus pouvoir chanter. C'est donc suite à un premier titre traduisant sa propre expérience que Dave Kensington revient sur les devants de la scène.
Né à Mons, il passe son enfance entre les cours de solfège et de chant. Passionné par la musique, au sein d’une famille d’artistes et de musiciens, il suivra de près son cousin germain Philip Catherine, célèbre guitariste de jazz franco-anglais.
Après un passage en tant que danseur chez Disney et après avoir monté plusieurs groupes en Belgique, Dave se consacre à l’écriture et enregistre, à 17 ans, son tout premier titre de Dance Music intitulé « On s’est dit Adieu ». Il fonde ensuite le label FMP-Publishing et produit le rappeur L’ AB2C. Il se passionne parallèlement pour la musique électronique sur laquelle il aime poser ses propres textes.
À aujourd’hui quarante-six ans, l’âge de la maturité selon lui, son amour pour les mots l’a rattrapé, avec le projet à venir d’un album électro-pop de 11 titres. Auteur, compositeur et interprète, il écrit tous ses textes avant de les retravailler avec de jeunes arrangeurs dont certains font partie de l’équipe de Mylène Farmer (Erwin Autrique) ou de David Guetta.
Influencé par les Rita Mitsouko, les Négresses vertes, Mano Negra ou encore Mylène Farmer, Kensington aime la chanson française à textes. Mais Dépêche Mode, Daft Punk ou encore Leee John (Imagination), son ami, pour qui il écrit le Titre "Turn It Up", dont il est l'éditeur, font également partie de sa playlist.
Sensible à l’isolement au sein de notre société, et à travers des textes toujours en lien avec l’actualité, le chanteur belge reste très attaché à l'universalité de la musique. Il s’attaque aussi à d’autres sujets de société contemporains, dénonçant ainsi dans ses chansons racisme, communautarisme et prônant la liberté des femmes.
Du confinement que l’on a vécu, il aura tiré le single "Mon Corona". Aujourd’hui, il revient avec son nouveau single “Paris s’ennuie” toujours avec ce regard musical sur une société qui va mal. C’est donc de ce constat qu'est parti ce morceau, déplorant les parisiens rivés sur leurs téléphones, oubliant de prêter attention à la belle ville qui les entoure.
« Les gens ne communiquent plus, ou seulement à travers les réseaux sociaux. Il n’y a plus de communication verbale ».
"Paris s'ennuie", morose mais groovy.
Après le succès de “Mon Corona” (plus de 1000000 vues sur YouTube), Dave Kensington, nous présente son nouveau single et clip sur la non-communication humaine en temps de pandémie : “Paris S’ennuie“. Le clip du titre fait un clin d’œil à Mickey & Mallory dans “Tueurs nés” (Natural Born Killers), une ode à la mixité.
Pour la réalisation de ce dernier single, Dave Kensington a réussi à s’entourer de la crème belge des arrangeurs. Le titre a été enregistré au légendaire studio ICP à Bruxelles et mixé par Jules Fradet (arrangeur de Damso, Angèle, Roméo Elvis, etc…). Les remixes ont été faits par Kamilo Santclemente, le David Guetta colombien, connu pour ses remixes officiels du groupe pop anglo-saxon Freemasons.
Dans ce morceau, Dave Kensington, met l’accent sur les relations interraciales visant à briser le communautarisme ambiant. À ses yeux, l’humanité est une seule et même communauté dont la force est le partage. Entre gilets jaunes, manifestations, la crise du covid et un président qui se fait gifler : Paris s’ennuie car le lien est rompu. Paris s’ennuie aussi car les gens ne se parlent plus.
Les relations humaines à distance, le speed dating, le non-verbal, la solitude des mots et des propos… c’est ce que Dave Kensington tente de remuer quotidiennement à travers ses textes, emplis de spleen et de désarroi, enveloppés d’un groove qui ne pourra que vous faire danser. Car “Paris s’ennuie” c’est aussi un titre “feel good” que l'on a envie de partager !
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Christophe SOUSA