NAREN : L'artiste Normand présente son nouveau single "2021 à Calcutta"
Extrait de son nouvel EP "C’est l’histoire d’un homme - Part.II"
A PROPOS DU SINGLE
2021 à Calcutta est le dernier titre de Naren, chanteur français de pop-rock anagogique.
Issu de son nouvel l’EP C’est l’histoire d’un homme - Part.II , ce single est un véritable hommage au héros, LE héros « que serait sans lui 2021 ? », « face au soleil il joint les mains », « c’est lui l’avenir, c’est lui demain ». Ce titre salue tous les héros de la société qui apportent leur pierre à l’édifice. Naren a souhaité chanter pour ceux qui comme l’Abbé Pierre, Gandhi ou encore Nelson Mandela ont fait de leur vie un combat sans rien attendre en retour, un long voyage vers les autres et pour les autres.
Ce voyage, 2021 à Calcutta c’est celui que Naren aurait aimé pouvoir faire et qu’il a opté d’entreprendre avec son âme, compte tenu du contexte social et sanitaire. Mais c’est aussi un symbole. En Inde aujourd’hui, fleurissent ces maîtres qui mettent leur existence au service des autres afin de nous aider dans cette démarche de bien être, se retrouver face à nous-même dans ce monde individualiste et matérialiste. A travers ce titre, Naren a voulu rendre hommage à ces êtres précieux, des hommes lumineux, capables d’apporter du réconfort et de la joie ainsi que de nous inspirer pour être bon et faire le bien. Il soulève ainsi l’importance qu’ils continuent de naître pour contrebalancer la montée du matérialisme et de l’individualisme.
Avec un refrain qui reste dans la tête, un rythme simple et efficace, 2021 à Calcutta vous emmène vers d’autres contrées. En Inde peut-être, mais surtout sur une route pleine d’espoir et d’introspection, un voyage tout simplement spirituel comme les aime Naren où les paroles priment sur la musique. L’ambiance de la chanson s’installe doucement par des accords de guitare wah wah comme un tapis musical qui nous transporte dans une autre hémisphère. Le tempo est lancé, la voix entre et pose le décor, des couplets clairs et directs sur un pied de batterie donnent alors le rythme.
Le titre, fortement empreint de spiritualité et de positivité aborde donc ces valeurs plus universelles que l’argent et le pouvoir. “Chacun sa route mais le monde est un” rappel que toutes nos actions sont liées, car pour les grand sages, tout est un. Le but est donc de servir l’autre aussi bien que soit-même.
L’unité dans la diversité, c’est donc le message primordial qu’a souhaité faire passer l’artiste. Voyager intérieurement pour dépasser l’individualité et faire ressortir ce que l’on a de meilleur en nous, c’est aussi à cela que 2021 à Calcutta fait référence. Vous l’aurez compris, en cette année si particulière qui nous a à la fois renfermée sur nous-mêmes, tout en nous recentrant sur les choses essentielles, a été source de solidarité et est vue pour l’artiste comme un sésame qui s’ouvre sur un champ de tous les possibles.
A PROPOS DU CLIP
En écoutant 2021 à Calcutta, Janaki, la réalisatrice, a tout de suite visualisé un environnement urbain pour casser avec l’image de l’Inde et ses représentations classiques. Elle avait envie de montrer que l’on peut être inspiré partout si l’on sait dépasser les apparences. Comme le dit le texte, « chacun sa route mais le monde est un », où que l’on soit il est possible de rencontrer cette lumière et de l’exprimer pleinement.
Janaki donc a voulu un clip dansé du début à la fin, comme l’eau d’une rivière qui part de sa source et se jette dans l’océan, elle chemine, elle est guidée et rejoint l’océan infini des possibles et rien ne peut l’arrêter. La vie est une danse, on peut faire face à ce qu’elle nous propose en dansant avec elle, cette danse nous élève, nous ouvre le cœur et permet cette unité avec soi et l’extérieur.
A PROPOS DE L'ARTISTE
Naren est un guitariste français autodidacte. Il commence la guitare à 14 ans et passe de nombreuses années à faire du rock grunge. En parallèle de ses études de philosophie, Naren développe sa passion pour la musique. Ce n’est que beaucoup plus tard qu’il ira au conservatoire de musique pour adultes du 14e arrondissement de Paris pour dit-il « mettre des noms sur des notes qu’il avait appris de manière ‘sauvage’ ». A 23 ans il est musicien professionnel et connaît les grandes scènes, les plateaux TV et les studios d’enregistrement.
Il crée son propre Home Studio et commence à produire des artistes pour lesquels il compose et arrange et des morceaux. Après 10 ans dans le monde de la musique, Naren décide de passer de l’autre côté de la scène en tant qu’auteur, compositeur et interprète. Il s’investit alors dans un duo pendant une quinzaine d’années pour enfin oser se lancer aujourd’hui en solo.
La musique spirituelle est venue progressivement donner un sens à sa pratique artistique et à sa vie. Il fonde donc le label de chants célestes Gandharva Gana en 2011 afin de développer des projets d’artistes d’un genre nouveau, des artistes qui livrent avec sincérité leurs œuvres empruntent de spiritualité, telle une offrande.
Avec une voix surprenante et marquante, Naren compose des titres qui se retiennent, des choix musicaux et instrumentaux qui accrochent. Sa musique a du caractère, elle soigne ses souffrances psychologiques, limite la dualité et élève sa conscience pour vivre en harmonie avec ce qu’il est. Pas d’hier, pas de demain, le seul présent pour avancer et déployer la force du cœur. Naren se laisse inspirer, s’emploie à être sincère et authentique en partageant cette puissance infinie qui se révèle dans la création.
Naren est donc cet artiste engagé pour la spiritualité. C’est par ses textes anagogiques et sa musique qu’il vit, défend et partage ses choix.
SES LIENS AVEC LA NORMANDIE
Naren a des liens forts avec la région puisque sa mère et sa grand-mère sont originaires de Haute Normandie. De plus le clip « J’étais dans des pas » a été tourné à Varangeville, sur les falaises.
Suivez le sur Facebook, Instagram & Youtube
Voir la fiche projet sur notre site
Christophe SOUSA