"New Walls Of Babylon", un album électro puissant et cinématographique de Stéphane Bissières et Raphaël Sibertin-Blanc.
Librement inspiré du film Metropolis, ce nouvel opus offre une approche singulière du jazz et des musiques électroniques autour de l’univers de Fritz Lang.
"Insatiable" est le mot qui vient en tête pour définir Stéphane Bissières. Alors que ses installations Gravity, Effet de Champ ou Dataline font le tour des festivals d'art numérique en France (Biennale Nemo au 104, FTMA Festival, Biennale Experimenta Grenoble, Festival Ososphere à Strasbourg), il trouve le temps de sortir un nouvel album hypnotique, déjà plébiscité par Arte pour en faire la bande son de sa web-série "Génération Guerre d'Algérie".
Enregistré avec le violoniste Raphaël Sibertin-Blanc avec qui il nourrit une complicité musicale depuis plus de 25 ans, ce nouveau disque surfe entre électro industrielle et jazz contemporain. Sonorités acoustiques et instruments traditionnels se mêlent aux textures synthétiques et instruments modulaires pour une palette riche de dynamiques et de timbres. Les deux artistes se saisissent de ce contraste pour développer une esthétique contemporaine, symbole des relations de l’homme à la technologie, de la confrontation à l’hybridation. L'album sera disponible en vinyle dès vendredi, avec un fin travail d'illustration réalisé par l'artiste Clémentine Poquet.
Méconnu du grand public, Stéphane Bissières qui vient de fêter ses 46 ans est un compositeur prolifique primé par la Sacem, qui a collaboré notamment avec Radio France, le label Signature et le GRM, composant de nombreuses bandes sonores comme l'adaptation radiophonique d'Extension du domaine de la lutte de Michel Houellebecq. Mathématicien de formation, Il développe également des interfaces de captation gestuelle, a créé à l’Institut National de l’Audiovisuel le cursus de création interactive et réalise régulièrement des installations sonores et multimédia.
Raphaël Sibertin-Blanc cultive son jardin musical en orfèvre. Délaissant les mathématiques pour le violon, il étudie au conservatoire de Blagnac et au centre des musique Didier Lockwood, puis part en Crète pour apprendre à jouer du Klasik Kemençe auprès des maitres turc et grec Derya Turqan et Socratis Sinopoulos. Depuis il trace son sillon entre jazz, musique traditionnelles et improvisation, collaborant avec des artistes comme Lakhdar Hanou ou Christine Wodrascka. Il compose pour son groupe Dadèf Quartet une musique douce et libre, avec une touche de minimalisme.
New Walls of Babylon est disponible en streaming et vinyle édition limitée via le label fluxus temporis.
Plus d'infos:
https://www.stephanebissieres.com/
https://fluxustemporis.bandcamp.com/
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Contact label: fluxustemporis@gmail.com